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7 jours dans le Queyras avec son chien

Découvrir les Hautes-Alpes lors d'un trek dans le Queyras

Réaliser le tour du Queyras avec un chien est l’aventure idéale pour se familiariser avec le trek en montagne. Durant 7 jours, partez à la découverte de paysages à couper le souffle ! Nous avons réalisé ce trek dans les Hautes-Alpes à la fin du mois de juillet 2020, à deux, en alternant les nuits en bivouac et les nuits en refuge, repas lyophilisés et restaurants.

Dans le parc régional du Queyras, le bivouac est autorisé, les refuges y sont nombreux, les points d’eau omni-présents et les paysages sont magnifiques. Que demander de mieux ?

En bref

5 jours de marche

4000 mètres D + 2500 mètres D - 

80 kilomètres

Nous sommes passées par le GR 58 (infos sur MonGR.fr) et avons utilisé plusieurs variantes

Randonner avec son chien

 les chiens sont autorisés dans le parc régional du Queyras. Néanmoins, sachez que de nombreux troupeaux de brebis s’y trouvent. À la différence des vaches (nous avons croisé deux troupeaux), les brebis sont accompagnées de chiens de protection : les patous. Si vous les croisez, il vous est demandé de contourner largement le chemin. Si vous êtes confrontés à l’un de ces chiens, ne paniquez pas, tenez votre animal en laisse, parlez calmement au patou en lui demandant de retourner s’occuper des brebis. Celles-ci sont identifiables en amont par le bruit de leurs cloches.

Hébergement

Durant notre tour du Queyras, nous avons alterné les nuits en bivouac et les nuit en refuges.

L'itinéraire 

Jour 1 : Ville-vieille - Molines

Durée : 5 heures 30

Distances parcourues : 15 kilomètres
Point culminant :  2300 m
Dénivelé : + 1000 m

Hébergement : Bivouac

Jour 2 : Molines - Saint-Véran

Durée : 3 heures 

Distances parcourues : 8 kilomètres
Point culminant :  2042 m

Hébergement : Les Chalets Du Villard

Jour 3 : Saint-Véran - Agnel

Durée : 6 heures 30

Distances parcourues : 18 kilomètres
Point culminant :  2900 m
Dénivelé : + 800 m

Hébergement : Bivouac

Jour 4 : Agnel - Ristolas

Durée : 4 heures

Distances parcourues : 17 kilomètres
Point culminant :  2806 m
Dénivelé : - 1100 m

Hébergement : Gîte 7 degrés Est

Jour 5 : Brunissard - Furfande

Durée : 4 heures 30

Distances parcourues : 11.5 kilomètres
Point culminant :  2500 m

Dénivelé : + 800 m

Hébergement : Bivouac aux alentours du Refuge de Furfande

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Jour 6 : Furfande - Pont de Bramousse

Durée : 2 heures 

Distances parcourues : 8.5 kilomètres
Dénivelé : - 1100 m

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Randonner dans le Queyras avec son chien

Réputé pour ses nombreux chemins de randonnée et notamment le GR5 et le GR 58, le parc régional du Queyras a tout pour plaire.

Situé à proximité de lieux emblématiques, tels que le Mont Viso ou encore la rivière du Guil, le parc naturel régional du Queyras est le parfait endroit pour tous les types de randonneurs. Des plus sportifs aux familles, les passionnés de montagne et de plein air pourront relever de nombreux défis.

À la différence d’un parc national, les chiens sont acceptés dans le parc régional du Queyras. Attention néanmoins aux patous, ces chiens qui ont pour mission de protéger les troupeaux de brebis des loups. 

L’endroit n’était pas bondé sur les variantes du trek. Néanmoins, nous avons croisé beaucoup de familles et de randonneurs accompagnés d’ânes de bât lors de nos passages par le GR58. Notez qu’à partir du 15 juillet, il est fortement conseillé de réserver vos nuits en refuge au risque d’avoir de mauvaises surprises !

Sachez également qu’il est tout à fait possible de bivouaquer dans le parc régional du Queyras entre 19h et 9h du matin.

Débuter son tour du Queyras 

Pour nous rendre dans le Queyras, nous avons pris le train de Paris Gare De Lyon à la gare SNCF de Montdauphin-Guillestres. Arrivé dans les Hautes-Alpes, une navette vous emmène directement dans le parc régional du Queyras en une quarantaine de minutes. Vous trouverez toutes les informations nécessaires sur les horaires ici. Ils diffèrent selon la période donc renseignez-vous bien. Le personnel est facilement joignable.

Les chiens sont acceptés gratuitement dans les navettes.

Nous avons choisi Ville-vieille pour notre point de départ. Situé à 1700 mètres d’altitude, ce petit village est idéal pour s’acclimater à l’altitude. Il est également le point de départ de nombreuses navettes (sachez qu’il y en a peu dans la journée : une le matin et une le soir) et de randonnées. Pour cette première nuit, nous avons logé à l’hôtel Le Guilazur.

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04 92 46 74 09

Ouvert été comme hiver

Prix d’une chambre deux personnes : 83 €

La première étape de notre trek dans le Queyras consiste à aller en direction de Molines en passant par deux points d’intérêts : le Clos de charmanière et le sommet Bûcher. Nous dormirons en bivouac cette nuit là.

La montée jusqu’au Mont Bucher : 1012 mètres D+

La première montée met tout de suite « dans le bain » ! Elle est rude, on souffre mais le chemin se trouve à l’ombre et on est super heureuses d’être ici.

Arrivées au Clos de Charmanière, dans une clairière, nous rencontrons un berger avec qui nous discutons de notre itinéraire initial. Grâce à ses nombreux conseils, nous décidons de modifier l’endroit de notre premier bivouac. Nous resterons donc sur le plateau car il sera plus facile de partir en direction de Saint-Véran le lendemain et clairement plus joli.

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Après 4h de marche, nous arrivons au sommet Bûcher. C’est magnifique, l’endroit en vaut vraiment la peine. Situé à 2300 mètres d’altitude, on en profite pour manger notre premier repas lyophilisé : un régal.

Notre premier lieu de bivouac est parfait. Situé dans les hauteurs de Molines, nous disposons d’une rivière, d’une magnifique montagne, du chant des marmottes en bruit de fond et d’un terrain qui semble plutôt plat.

Le programme de la soirée est assez simple : nous installons la tente, mettons en place les duvets dans lesquels June se jette littéralement, nous nous lavons dans la rivière puis nous préparons à manger. Nous rinçons ensuite la vaisselle et allons rapidement nous coucher pour être d’attaque le lendemain !

Jour 2 : Randonner de Molines à Saint-Véran

Pour notre deuxième journée de marche dans le Queyras, nous prévoyons une petite journée de randonnée. Nous nous réveillons vers 8h, après une longue et b… MAUVAISE nuit de sommeil ! Nous avons sincèrement très mal dormi. Placée à moitié sur une pente, la tente nous faisait glisser vers le bas. J’avais froid, Mathilde a failli étouffer June à plusieurs reprises (aha) et la poche d’eau s’est vidée dans la tente.

Après s’être plus ou moins réveillées, nous nous rendons compte que nous n’avons pas faim. Grosse erreur de notre part de ne pas nous nourrir correctement avant de commencer une randonnée ! Mathilde a tout de même eu la sagesse de prendre une barre protéinée (oups, je ne l’ai pas suivi).

La descente jusqu’à Molines se fait correctement, le panorama sur les montagnes est sublime. Saviez-vous que Saint-Veran est la plus haute commune d’Europe ? Située à 2 042 mètres d’altitude, cette ville est totalement atypique ! Charme de l’ancien, restaurants, musiques anciennes : on valide à 100% !

Après une bonne tartiflette (sans lardons) mangée au restaurant Chez Pascal, nous descendons jusqu’au torrent afin d’attendre que la chambre de notre hôtel soit prête. 

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Chien : 8 € par nuit

Prix d’une nuit : 85 € par personne
Petit-déjeuner : 25 €

Jour 3 : Randonner de Saint-Véran au refuge Agnel

Pour cette troisième étape dans le Queyras, notre itinéraire initial nous faisait descendre jusqu’a Chianale, en Italie pour remonter jusqu’a Ristolas et ce, en une journée. Vu le nombre de kilomètres à réaliser et au risque de prendre trop de retard dans notre trek, nous décidons de randonner de Saint-Véran jusqu’au Refuge Agnel. 

Nous commençons notre excursion par la Chapelle de Clausis (2400 mètres d’altitude). Depuis Saint-Veran, nous empruntons de magnifiques chemins qui longent le torrent. Nous ne voyons personne à l’horizon et ce, durant plusieurs kilomètres.

C’est après plusieurs heures de marche et une petite pause ravitaillement que nous quittons une nouvelle fois le GR 58 pour nous rendre en direction du refuge de la Blanche.

Situé en face du lac blanchet, ce joli refuge se révèle être très prisé par les bivouaqueurs. Sur le chemin, nous avions évoqué l’idée de dormir face au lac mais arrivées à midi et en pleine forme, nous décidons de poursuivre notre route après un bon repas.

Au départ du refuge de la Blanche, nous poursuivons notre chemin en direction du col de Chamoussière. Nous nous rendons rapidement compte que beaucoup de randonneurs se rendent au col Saint-Veran et pour cause ! Les chemins qui mènent au col de Chamoussière sont inexistants, éparpillés au milieu des pierres et des éboulements. On monte, on monte sans trop savoir où nous allons. C’est un sentiment difficile à gérer car avec la fatigue, le poids du sac, June qui souhaite courir après les marmottes… cela devient compliqué moralement et physiquement.

Nous avons franchi notre premier col ! Quelle victoire ! Perché à 2900 mètres d’altitude, le col de Chamoussière nous offre un panorama remarquable. Nous pouvons également toucher la neige ! Les émotions, la satisfaction et le challenge relevé nous valent des larmes de joie. 

De loin, nous pouvons apercevoir notre point d’arrivée : le refuge Agnel.

Nous en avons entendu des choses sur le fameux refuge Agnel ! En effet, peu de randonneurs ont aimé leur expérience dans cet établissement. Le gérant ne fait malheureusement pas l’unanimité auprès de ces hôtes et clients ! Nous nous sommes seulement arrêtées pour boire quelque chose de frais et Mathilde en gardera un très mauvais souvenir.

L’orage est prévu pour ce soir. En montant un peu au dessus du refuge, nous trouvons de nombreuses tentes ainsi qu’une petite ruine. Nous décidons de nous mettre à l’intérieur en se demandant pourquoi personne n’a eu cette idée. Bhen oui ! Le sol est tellement dur qu’il n’est pas possible de planter sa tente ! Heureusement que ma superbe tente Quechua tient debout sans sardines. A l’abri du vent et après 10 minutes d’orage, nous nous endormons paisiblement. 

Jour 4 : Randonner du refuge Agnel à Ristolas

Au départ du refuge Agnel, 200 mètres de dénivelé positif nous attendent avant d’arriver au Col Vieux (2806 mètres d’altitude). Nous utilisons pour la première fois nos batons de randonnée, achetés 5 € l’unité chez Décathlon.

Nous croisons beaucoup de monde sur ce sentier. Randonneurs à la journée, dog-trotters ou encore familles se rendent au lac Egorgeou.

Dans la matinée, nous rencontrons une gardienne du parc qui nous renseigne sur le Queyras, les horaires de bivouac, les chiens de protection, la faune ou encore la flore. Grâce à elle, nous avons la chance de pouvoir observer un groupe de 6 bouquetins depuis le col Vieux. C’était magnifique !

Les lacs Foréant et Egorgéou sont des lacs de montagne réputés dans le Queyras. Dotés d’une couleur incroyable, nous trouvons ça dommage qu’ils soient aussi touristiques.

Nous décidons de manger au lac Egorgéou et de nous reposer avant de partir en direction de l’Echalp.

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L’après-midi, une descente interminable de plus de 1000 mètres de dénivelé négatif nous attend avant d’arriver au petit hameau de l’Echalp.

Nous avions initialement prévu de bivouaquer une nuit de plus. Cependant, nous observons sur la carte la présence d’un gîte et décidons de nous y rendre afin de savoir s’il est possible de dormir là-bas cette nuit là ! 

La réceptionniste, juste adorable, nous accepte et ce, avec la chienne en dortoir ! Première nuit en dortoir pour Mathilde, June et moi. Tout s’est très bien passé. June, comme à son habitude a su rester sagement sur le lit pendant que nous mangions. Elle nous a ensuite rejoint d’elle-même au coin du feu lors de la tisane. 

Nous rencontrons et parlons avec d’autres passionnés de montagne. Le repas est extra et la chambre plus que géniale. 

Seul inconvénient : L’Echalp est un petit hameau et s’il n’y a plus de place au gîte, il faudra vous rendre dans une autre ville et/ou bivouaquer.

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Chien : gratuit et accepté si les autres clients acceptent

Prix d’une nuit en demi-pension : 42 €

De nombreux lits en dortoir sont disponibles ainsi que plusieurs chambres. Le charme et le style chasseur du gîte. Le prix attractif et l’accueil des gérants. Le départ des navettes se situe à proximité du gîte. 

Jour 5 : Se rendre de Ristolas à Ville-vieille en navette

A l’intérieur du parc national du Queyras, sachez que vous pouvez vous rendre d’un point à un autre grâce aux navettes à 1€. Les chiens y sont acceptés gratuitement. Cette sixième journée sera une journée repos ! Nous décidons donc de faire du Rafting à Château Ville-vieille, dans le club Queyraft. C’était super cool ! Durant 1h30, nous avons navigué sur le Guil, sauté d’une falaise de 7 mètres. 

June est restée sagement dans la chambre de l’hôtel. Cela lui a bien reposé les yeux (qui étaient rouges et infectés à cause du soleil).

Jour 4 : Randonner de Brunissard au refuge de Furfande

Cette sixième étape marque notre avant dernière journée de randonnée dans le Queyras. Direction le refuge de Furfande ! Sous les conseils du conducteur, la navette nous fait descendre après Arvieux, à Brunissard exactement. La randonnée est de 11 kilomètres. Le début de cette dernière se passe très bien. La montée se fait progressivement, sous la forme d’un escargot. Nous marchons sur de nombreux chemins : au milieu des pins, de la forêt, en longeant le torrent. 

Puis arrive cette longue et interminable montée au milieu de la forêt. Plus d’une heure de marche avant d’atteindre le sommet ! Nous nous arrêtons autour d’un lac où June en profite pour se baigner dans le Queyras. 

La pause du midi se fera à proximité d’un parking où il est grandement conseillé de se garer car le chemin, pour accéder au col de Furfande, est escarpé et dangereux selon la météo.

Il nous reste un peu plus d’une heure avant d’atteindre le col de Furfande. Cette journée fût la plus dure pour nous car toute la fatigue accumulée de la semaine se ressent. Le chemin se situe en plein soleil. Seule la détermination nous permet d’avancer.

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Arrivées en haut, on est pleine de fierté ! Fières d’avoir vaincu et dépassé nos limites. On l’a fait ! Notre dernier col dans le Queyras ! Le paysage est juste remarquable.

Le refuge de Furfande nous a été recommandé auprès de randonneurs rencontrés lors de notre nuit au gite 7 Degrès Est.

Pour notre dernière journée dans le Queyras, nous avions initialement prévu de nous rendre au lac Miroir et de dormir au lac St Anne. Notre changement d’itinéraire ne nous a pas déçu ! L’effort fourni en vaut clairement la chandelle. Le plus frustrant dans cette dernière partie, c’est de voir les navettes et voitures défiler pour accéder au sommet. 

Le refuge met à la disposition des campeurs un emplacement privatif pour 4 € par personne. Cela vous donneaccès aux douches (après les clients du refuge) et aux toilettes extérieurs (ce qui n’est vraiment pas de refus).

Nous avons donc installé notre tente et diné à l’intérieur du refuge.

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L’emplacement de la tente est à 4 € par personne. 

Il est possible pour les campeurs de prendre le repas du soir avec les clients du refuges. Les douches et les toilettes extérieurs sont également accessibles. 

Le refuge n’accepte pas les chiens à l’intérieur de l’établissement.

Dernier jour : Randonner de Furfande au pont de Bramousse

Levées depuis 5h pour un départ de randonnée prévu à 6h15.

Direction le pont de bramousse où nous attend notre navette en direction de la gare SNCF de Mont-Dauphin à 8h30. Ne sachant pas vraiment combien de temps nous allons mettre, nous préférons prendre de l’avance. Notre train pour Paris part à 12h30 et les navettes ne sont pas nombreuses en journée (une le matin et une le soir). 

Nous mettons approximativement 2h de marche du refuge de Furfande au pont de Bramousse. Ce n’est que de la descente.

Si vous désirez prendre la navette au pont de bramousse, sachez qu’il est nécessaire d’appeler le chauffeur de la navette afin de le prévenir. Il vous recontactera le jour du départ et vous attendra si vous avez un souci.

Quel est le prix pour faire le tour du Queyras ?

Lors de notre Trek dans le Queyras, nous avons dépensé 576 € par personne (chien, nourritures et transports compris).

​Nous avons également dû nous équiper avant de partir, ce qui ajoute des frais supplémentaires.

​Vous trouverez ci-dessous le détail des tarifs : 

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Transport : 218€

  • Billets TGV (paris Gare De Lyon – Mont Dauphin Guillestre) : 199 €

  • Navettes : 19 € (une première navette de la gare à Ville-vieille et une au retour. 9 € le billet). Il est possible de payer moins chère en réservant directement sur Internet. Les navettes internes au parc du Queyras sont à 1 €.

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Logement : 217€

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June : 24€

  • Billets TGV : 14 €

  • Hôtel Les Chalets du Villard, Saint-Véran : 10 €

Conseils pour un séjour dans le Queyras 

  • Pour les amoureux des activités outdoor, Ville-vieille se révèle être le village idéal ! Situé à proximité du Guil, vous pourrez vous essayer au rafting, à la via feratta et autres activités en plein air. C’est également le point de départ de nombreuses navettes.

  • ​Le Queyras est un parc régional réputé des Français mais il reste tout de même accessible et peu de touristes se trouvent sur les variantes.

  • ​Les chiens sont acceptés presque partout (hôtels, parcs, restaurants, magasins,…) June, ma petite Jack Russell de 4,5 kg n’a été un frein dans aucune de nos sorties ! Néanmoins, privilégiez les hôtels aux gîtes si vous avez un chien.

  • ​Faites attention, il est facile de se perdre dans le Queyras. Le fait de savoir lire une carte IGN (avec l’application IphieGénie) est d’une grande aide et ce, surtout si vous choisissez de prendre des variantes au GR58.

  • De nombreux points d’eau sont accessibles dans le Queyras. Veillez à vous munir d’une gourde filtrante et/ou d’une poche à eau lors de votre trek dans le Queyras.

  • Ayez toujours du liquide sur vous ! Les refuges d’altitude ou encore les compagnies de bus ne prennent pas la carte bleue.

  • Il existe de nombreux points de départ pour réaliser ce trek. La majorité des randonneurs débutent leur Tour Du Queyras depuis Ceillac. 

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